Alanie, Arménie, Azerbaïdjan, Croatie, Géorgie, Kosovo, Monténégro et Turquie

Étude du potentiel d’économies d’énergie de la machinerie et de l’équipement agricoles

EXPERTISE : , Mécanismes de financement et gestion de fonds
SECTEUR : , Services d’utilité publique

client

FIM- Finance in Motion GmbH

 

description du projet

Le Green for Growth Fund (GGF) de l’Europe du Sud-Est a commencé à offrir des lignes de crédit destinées aux projets liés aux mesures d’efficacité énergétique (EE) et d’énergies renouvelables (ER), dans l’est et le sud-est de l’Europe. Dans le but de promouvoir l’EE et de réduire les émissions de CO2, le GGF investit dans des fonds à long terme dédiés à l’EE et aux ER au sein d’institutions financières (IF). Celles-ci fournissent en retour des prêts à moyen et long terme aux petites et moyennes entreprises, aux ménages et aux municipalités. Quelques mesures d’EE admissibles au financement grâce au GGF sont définies comme des mesures normalisées selon lesquelles les économies d’énergie primaire et de CO2 se fondent sur un scénario de référence défini et comparé en fonction de la consommation et des émissions types du nouvel équipement.

Econoler s’est vu confier un deuxième mandat qui visait à étudier huit autres pays, soit l’Albanie, l’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Croatie, la Géorgie, le Kosovo, le Monténégro et la Turquie.

Un troisième mandat a été réalisé, pour mettre à jour les bases de référence à la suite de l’évolution de la machinerie offerte sur le marché.

faits saillants

L’étude visait à déterminer de nouvelles mesures d’EE normalisées pouvant être financées par le GGF. Econoler a évalué le potentiel d’économies d’énergie et de réduction des émissions de CO2 associées aux mesures d’EE proposées par le remplacement de l’équipement énergivore ou par l’ajout de nouvel équipement (dans les cas d’un potentiel d’économies élevé). Les mandats ont été entamés par l’analyse de la documentation, des sondages et des entrevues des intervenants clés et par la collecte de données agricoles dans les pays visés. Ces données servaient à :

  • définir les types de machinerie et d’équipement agricoles les plus communs ayant le potentiel requis d’économies d’énergie et de réduction d’émissions de CO2;
  • évaluer le potentiel de normaliser les calculs d’économies.

L’étude s’est aussi attardée à la définition et au calcul des bases de référence pour le potentiel d’économies d’énergie des nouvelles mesures sélectionnées et permettait l’évaluation d’un potentiel global pour chaque mesure dans chacun des pays visés.

 

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